mercredi 9 mai 2018

4) Le pharmakon de l'informatique et ses poisons: Facebook et autres mégamachines à organiser le chaos

Mise à jour, 02-06-20

La thèse qui nous guidera ici, qui est aussi celle que soutient aujourd'hui un philosophe comme B. Stiegler, consistera à soutenir que les nouveaux dispositifs  de l'informatique rentrent dans la catégorie de ce que les Grecs anciens appelaient le pharmakon (qui a donné "pharmacie"), quelque chose qui est, à la fois, potentiellement, un poison ou un remède. Tout l'art de celui qui sait bien tirer parti d'un pharmakon consistera à neutraliser le poison pour en extraire le remède. Appliqué aux dispositifs de l'informatique, cela signifie qu'ils renferment un potentiel d'émancipation pour l'humanité (d'une ampleur sans doute encore supérieure à l'invention de l'imprimerie) mais à la seule et unique condition de savoir désamorcer ce qu'ils ont aussi de terriblement toxique.

On prendra donc Facebook comme emblème de ce que l'on peut trouver de plus nocif à l'ère inaugurée par la révolution de l'informatique, mais la même grille d'analyse pourrait s'appliquer à d'autres réseaux de même farine comme Twitter. On peut donner au moins quatre raisons de fond, qui, chacune prise séparément, devrait déjà suffire à se questionner sur le bien-fondé de sa présence en ces lieux. On en développera quatre ici, la cinquième ayant déjà été développée dans la partie 4b
du traitement de ce sujet, et qui fait que le qualificatif de réseau dit "social" pour parler d'un dispositif de ce genre est une vaste blague; le plus massif, ce sont, au contraire, les effets asociaux qu'il génère...

Facebook et l'empire de "la loi féroce de l'équivalence généralisée"
La gratuité de réseaux numériques comme Facebook ne devrait pas faire illusion, pour quiconque a réfléchi un peu sérieusement à ce qu'est le capitalisme; nous nous situons avec eux en plein coeur de son empire, qui repose sur "la loi féroce de l'équivalence généralisée", pour reprendre la formule de J. Baudrillard: tout, absolument tout, y est mis sur le même plan et aplati pour être mis en équivalence, de la même façon que, sur le marché des biens de consommation, un kilo de tomates bio peut avoir la même valeur économique qu'un bidon de Round up, que n'importe quel gadget en plastique ou qu'un exemplaire de L'Illiade d'Homère; ce qui départage toutes ces marchandises, c'est une simple quantité abstraite de temps de travail; sur les réseaux numériques, le lien vers un fake news, celui vers un article quelconque d'un journaliste médiatique à la mode d'une indigence consternante, aussi bien que celui renvoyant vers un texte de fond d'un penseur de première importance donnant à comprendre le monde dans son épaisseur, sont posés, de la même façon, suivant cette équivalence généralisée, leur valeur économique se déterminant alors en fonction de la quantité de clics auxquels ils donnent lieu, comme la valeur économique d'un produit de l'industrie se détermine suivant le nombre d'heures de travail qu'il contient, abstraction faite de tout contenu concret. Mais, comme le veut la formule bien connue, si tout se vaut plus rien ne vaut et tout finit par tomber dans l'insignifiance sous le régime de la simple quantité de clics ou d'heures de travail: c'est l'univers glacé, complètement irréel et proprement effrayant d'un réseau comme Facebook où cette loi étend son empire universel. C'est pourquoi, il semble tout à fait illusoire d'aller sur Facebook avec la prétention d'y développer des formes de pensée et de pratique qui subvertiraient le désordre mondiale de l'économie dite "néolibérale". On en retire plutôt l'impression, complètement désarmante, et donc aussi bien quand on prétend y révéler l'imposture du réseau Facebook lui-même, qu'absolument tout est destiné immédiatement à être neutralisé, aplati, digéré, et passé à la moulinette, sous les fourches caudines de la loi de l'équivalence généralisée, pour en ressortir sous la forme d'une quantité abstraite de données. On a ainsi le sentiment, en entrant sur un réseau de ce genre d'entrer dans la gueule d'un gigantesque Moloch, doté d'un appétit insatiable et capable de digérer par son métabolisme absolument tout et n'importe quoi pour le faire ressortir sous la forme d'une quantité abstraite dec données. De ce point de vue, il est très étrange d'y voir se multiplier des groupes qui s'affichent comme "anarchistes" ou suivant d'autres formes de radicalité protestataire. Pour donner une analogie puisée dans l'histoire politique moderne, ils donnent un peu l'impression de ces socialistes, au début du XXème siècle, qui pensaient qu'en introduisant un des leurs dans un cabinet ministériel de la bourgeoisie républicaine, ils allaient la subvertir. Comprenne qui pourra. Dans le même sens, on pourra consulter quantité de pages qui prétendent faire renaître les formes primitives de culture de l'humanité en étant intégralement marchandes. C'est un simulacre complet pour quiconque a appris à connaître ce qu'ont pu être ces formes de culture étrangères à l'esprit marchand où les transferts de richesse s'effectuaient principalement par des circuits de dons-contredons. C'est du primitif si on veut, mais en toc....
C'est de cette façon, suivant le régime de l'équivalence généralisée, que Facebook arrive à générer des milliards de dollars de chiffre d'affaire en exploitant la gratuité des données personnelles de la vie des gens intégrés dans son réseau pour les revendre aux publicitaires. Au moins, dans les formes classiques d'exploitation du capitalisme, le travailleur touchait une certaine rémunération en retour de ce qu'il apportait. Avec des réseaux comme Facebook, on est passé à un tout autre régime de l'exploitation où il s'agit de tirer la production d'argent de ce que les gens font bénévolement. C'est une façon parmi d'autres de réamorcer d'une nouvelle façon le processus d'accumulation du capital enrayé dans la sphère de la production industrielle, pour des raisons que j'ai déjà eu l'occasion de développer sur ce blog. C'est une règle qui a été bien formulée et à laquelle on peut se fier sans grand risque de se tromper: dans le système capitaliste tel qu'il se développe aujourd'hui à l'ère de l'informatique, quand quelque chose vous est accessible gratuitement, vous pouvez être sûr que le produit c'est vous-même.
 Au-delà du seul cas de Facebook, l'exploitation capitaliste de la gratuité est devenue aujourd'hui un des modes principal lui garantissant sa perpétuation, ce qui correspond à l'apparition de ce nouveau concept de prosommateur appelé à prendre, de plus en plus, la place du simple consommateur. Le prosommateur "collabore" gratuitement au perfectionnement des produits des firmes capitalistes, ce qui est particulièrement visible dans la sphère des jeux vidéos où, des jeunes, le plus souvent, rassemblés dans des communautés en ligne donnent de leur temps, sans aucune contrepartie monétaire, pour indiquer les améliorations à faire qui rendront le produit plus facilement commercialisable:"S'ouvre [...] une ère nouvelle où des milliards d'individus participeront bénévolement à la production  de richesses que pourront s'approprier les firmes. Comme Tapscott et Williams le disent assez naïvement, nous assisterions à la mise en oeuvre de "modèles qui étaient autrefois du domaine du rêve"." (Dardot et Laval, Commun, p. 183) C'est pourtant bien quelque chose que les entrepreneurs capitalistes des temps passés n'avaient sans doute jamais osé imaginer même dans leurs rêves les plus fous: non seulement, on n'a plus besoin de payer la personne pour le service qu'elle rend mais en plus on pourra encore mieux lui revendre la marchandise à la production de laquelle elle aura participé. Dans le domaine des logiciels libres, là aussi, la gratuité est désormais exploitée à des fins lucratives: initialement conçus dans une logique de don et de partage, ils avaient montré leur incontestable supériorité, en terme d'efficience, sur les logiciels payants. Ils sont désormais parfaitement intégrés dans le fonctionnement des géants de l'informatique comme Facebook, Google, Microsoft, etc.
 
L'univers liquide des réseaux
C'est une autre propriété frappante de ces réseaux qui renforce l'insignifiance qui y règne en maître. L'ensemble de leurs dispositifs génère un univers liquide qui semble devoir ne rien laisser subsister de solide et de consistant à quoi se raccrocher. Il y aurait sans doute là une analogie à faire avec le réseau maritime par quoi l'empire britannique avait étendu sa domination sur le monde au XIXème siècle. Tout y est emporté dans un éternel présent où la nouvelle du moment est immédiatement destinée à retourner à son néant pour laisser place à la suivante, et ainsi de suite, inaugurant un régime inédit de la temporalité qu'on a pu appeler aussi bien, "instantanéisme", que "présentisme", ou encore "actualisme" (voir aussi, en cens, "la société liquide", telle qu'étudiée par Z. Bauman). Comme le note R. Debray, le pauvre qui avoue lui-même se retrouver totalement perdu dans cet univers hyper-fluide, autrefois, on avait des textes, et de grands textes, qui permanaient, et sur lesquels on pouvait revenir à tout moment pour y réfléchir à nouveaux frais. Aujourd'hui, plus rien ne semble devoir demeurer ainsi dans la liquidité des réseaux. Et ce qui s'en trouve proprement ruiné, ce sont les conditions de possibilité qui avaient jusque là permis de construire une certaine intelligibilité du monde, suivant un principe remontant à Archimède qui réclamait ceci:"Donne moi où je puisse me tenir ferme, et j'ébranlerai la terre", qui trouvera bien plus tard sa réactualisation, avec la naissance de la philosophie moderne, dans le Cogito cartésien, le Je pense, je suis, le socle inébranlable sur lequel s'appuyer pour reconstruire l'intelligence du monde, une fois l'ancien écroulé.

Facebook vs Internet
Avec la troisième raison, on comprend encore mieux pourquoi Facebook est le type du dispositif qui neutralise tout le remède du pharmakon de l'informatique pour en extraire le poison exactement à l'inverse de ce qu'il faudrait faire. On le comprend si on intègre le fait que nous sommes totalement à côté de la plaque quand nous croyons être sur Internet lorsque nous naviguons sur Facebook. C'est un informaticien spécialisé dans le réseau Internet, Benjamin Bayart, et militant pour la défense des droits humains fondamentaux à l'ère de l'informatique, qui permet de bien le comprendre. Le réseau de l'Internet, comme je le développerai dans la partie suivante, présente trois propriétés fondamentales qui en font, potentiellement, un formidable outil d'émancipation si l'on sait s'en servir intelligemment: il est acentré, neutre et symétrique. C'est la propriété d'être acentrée qu'il faut retenir ici. De ce point de vue, l'Internet c'est l'exacte antithèse d'un réseau comme le minitel qu'il a rapidement et totalement évincé tenant compte de son écrasante supériorité en terme d'efficience. Le minitel était un réseau où toutes les connexions convergeaient vers un serveur centralisé. Au contraire, dans une structure dépourvue de centre, comme Internet a pu être conçu, il ne peut pas y avoir une instance qui capte pour elle-même et concentre la richesse et le pouvoir. On peut déjà commencé à deviner ici combien les potentialités émancipatrices de l'Internet sont grandes. Dans une structure où tout est organisé à partir d'un serveur centralisé, c'est évidemment tout le contraire. Facebook, c'est typiquement l'application minitel. Toutes les données sont collectées par un centre qui va ensuite les revendre pour faire son chiffre d'affaire: "C'est structurellement à l'opposé de ce qu'est Internet." (Voir Benjamin Bayart, à partir de 54'35, dans l'extrait de cette conférence, Qu'est-ce qu'Internet; notez bien que cela a lieu à Sciences Po.; nos dirigeants ne sont pas encore complètement stupides; ils se rendent bien compte que les bataillons qui formeront les futures élites de la nation ont besoin de recevoir une instruction un tant soit peu sérieuse.) Si l'on voulait imager ce qu'est véritablement Internet, on pourrait prendre l'exemple de la pieuvre (1), dont l'organisme est structurée de façon étrangement similaire:"Ces animaux pensent littéralement (...) hors de leur tête. Une pieuvre possède près de deux mille ventouses, chacune équipée de son propre ganglion d'un demi-million de neurones. Cela fait énormément de neurones, en plus des 65 millions que compte son cerveau (...) Son cerveau est en relation avec tous ces mini-cerveaux, qui sont également en contact entre eux. Au lieu d'avoir un centre de commandement unique, comme dans notre espèce, le système nerveux du céphalopode fonctionne plutôt comme Internet: le contrôle local est très important. Un bras coupé peut ramper tout seul, et même ramasser de la nourriture." (F. de Waal, Sommes-nous trop "bêtes" pour comprendre l'intelligence des animaux?, p. 314-315) Par opposition, Facebook fonctionne  plutôt à la manière de notre organisme, avec un centre de commandement unique qui collecte toutes les données du réseau, contrôle et organise tout ce qui peut s'y passer.

Facebook et la culture du narcissisme
Avec Facebook, nous nous situons en plein coeur de la culture des temps actuels qui se développe de plus en plus massivement comme une culture du narcissisme. C'est un concept que j'ai déjà très largement développé en de multiples endroits sur ce blog. Il n'est, en règle générale, pas du tout compris et confondu avec l'égoïsme. Son aspect le plus visible et donc le moins difficile à apercevoir, c'est de se manifester sous la forme d'une exhibition de soi sans pudeur. On voit déjà apparaître à ce niveau le caractère complètement infantilisant de cette culture: le propre de l'enfant, à un stade précoce de son développement, c'est de se situer dans une complète exhibition de soi qui le découvre entièrement aux autres. Il apprendra à grandir quand il comprendra qu'il lui est nécessaire de conserver une certaine intimité sans laquelle il resterait totalement vulnérable. Il n'est pas besoin d'être grand observateur pour se rendre compte que les dispositifs de Facebook encouragent, de toutes parts, cette exhibition infantile de soi au vu et au su de tous: "Or Mark Zuckerberg veut nous empêcher de garder cette intimité pour nous. En un sens, ce qu'il vise est donc ni plus ni moins que d'empêcher ce processus d'autonomisation. Il veut nous conserver à l'âge de l'enfance, où rien n'est dissimulé ou soustrait au regard d'autrui." ( Michael Stora, Pourquoi nous sommes incapables de quitter Facebook: le regard d'un psy) Les "likes" sont une autre facette de ces dispositifs infantilisants.  On reconnaît le caractère mature d'une pensée au fait que pour elle la question est de savoir si on a de bonnes raisons de penser ce que l'on pense. Pour l'enfant les choses se présentent sous un jour différent: étant encore plus ou moins complètement sous l'emprise de la logique de fonctionnement de l'inconscient psychique, il se demandera plutôt si ce qu'on lui dit est plaisant ou non (capacité de l'inconscient à trouver le plaisir dans la représentation): les "likes"constituent le dispositif parfait pour y répondre, et, par voie de fait, pour l'empêcher de grandir, tout comme ils font régresser l'adulte qui passe son temps à s'en servir à un stade infantile du développement de sa pensée.
Mais, ce n'est donc là que la face émergée de l'iceberg de la culture du narcissisme des temps actuels. Pour aller directement au plus fondamental (et ne pas avoir à répéter des choses que j'ai déjà suffisamment expliqué sur ce blog), le narcissisme, sous son aspect le plus dramatique, traduit une perte du sens des limites, et la première, celle qui conditionne la formation de toutes les autres, la limite entre son monde intérieur et le monde extérieur. Or, comme le disait le titre d'un ouvrage de Serge Latouche, nous sommes désormais rentrés dans L'âge des limites. Cela veut dire, très concrètement, que s'il doit y avoir un avenir pour l'humanité, il est devenu de plus en plus urgent pour elle de se redonner des limites, ne serait-ce déjà que pour des raisons écologiques qui tiennent au fait que les bases vitales de l'existence sont aujourd'hui très sérieusement atteintes à cause de la démesure de la croissance sans limite des sociétés industrielles qui fait qu'elles ont déjà largement franchi les seuils au-delà desquels, la nature ne pourra plus rester longtemps encore cette source féconde de la vie, et ce, sous les trois aspects les plus critiques de cette situation, étroitement imbriqués les uns dans les autres: tellurique ( l'épuisement des sols), atmosphérique (le réchauffement climatique) et biologique (l'effondrement de la biodiversité). Si nous ne sortons pas de cette culture du narcissisme qui empêche l'auto imposition de limites, il ne fait guère de doute, selon moi, que l'humanité sera amenée à succomber sous l'effet de sa démesure (que l'on se rassure: la vie, quant à elle, devrait très bien s'en remettre. Ce n'est jamais que la sixième extinction de masse qu'elle connait depuis qu'elle est apparue sur terre, même si celle-ci présente la particularité, entre autres, de se dérouler à une vitesse incomparablement supérieure à celles des hécatombes des temps passés, au moins mille fois plus vite...) Le philosophe américain Christopher Lasch, le meilleur analyste, à ma connaissance, de cette culture du narcissisme, l'avait déjà méticuleusement étudié avec, en particulier, la parution de son ouvrage, La culture du narcissisme, en 1979, à une époque, donc, où n'existait encore rien de tel que des réseaux comme Facebook. Avec ces derniers, nous sommes rentrés dans une dimension encore bien supérieure, planétaire et radicalisée, du phénomène. Ce n'est evidemment pas un hasard si les premières analyses sérieuses de la culture du narcissisme sont venues des Etats-Unis. Depuis la fin de la Première guerre mondiale, ils sont devenus l'avant-garde du développement du capitalisme dans le monde et ce que Marx disait de l'Angleterre encore au XIXème siècle s'applique désormais à eux: ils sont "le miroir dans lequel nous pouvons contempler notre propre avenir".

Bilan
En résumant,  on peut comparer Facebook à une sorte de prison dans laquelle nous tournons indéfiniment en rond, où nous en sommes réduits à rester connectés le plus pauvrement du monde avec un seul serveur centralisé, alors même qu'il suffirait d'ouvrir la porte pour la quitter et avoir devant soi un champ immense d'exploration renfermant une part de plus en plus importante du patrimoine immatériel accumulé par l'humanité depuis des temps immémoriaux. Le fait est que très peu de gens parviennent à faire ce simple geste. Voilà déjà un premier très sérieux obstacle à surmonter pour envisager de nouvelles formes du travail en perruque à l'ère de l'informatique. Il est bien évident que si un travailleur détourne la production réglementaire de son entreprise en se servant de sa connexion au réseau informatique pour aller naviguer sur Facebook (ou un autre réseau du même type), on aura pas avancé d'un pouce et ce qu'avait eu de subversif la perruque ouvrière sera complètement passé à la trappe (à suivre...)

(1) Il ne faut surtout pas se fier au fait que ces animaux ont une sale réputation, à tel point qu'on a fait de la pieuvre l'emblème de la Mafia. C'est à peu près systématique, de toute façon: on pourrait dresser une liste impressionnante d'animaux auxquels on a collé une vilaine étiquetteet qui se sont révélés, pour l'éthologie (étude du comportement animal), sont un jour fort différent, qui conduit, à chaque fois, à redorer leur blason.


1 commentaire:

  1. Je sui désolé, j'ai fait une fausse manipulation qui fait que j'ai envoyé à la poubelle votre réponse de ce matin. J'ai pu quand même en faire un copier coller.

    Maximminus a ajouté un nouveau commentaire sur votre article "2) Le travail en perruque à l'ère de l'informatiqu..." :

    Mon commentaire complet était celui ci :

    « ...où il s'agit de tirer la production d'argent de ce que les gens donnent gratuitement sans qu'ils ne reçoivent rien en retour. »

    Facebook propose un service gratuit, ce service ne constiturerait il pas le « retour » dont vous parlez ?

    Un Service gratuit en échange de données personnelles...,

    Mais les utilisateurs ont ils réellement conscience du « prix » qu’ils payent pour ce service « gratuit » !

    En revanche dans le cas des jeux video, L’utilisateur doit dans la plupart des cas payer pour jouer.
    La participation additionelle du joueur au perfectionnement du jeu serait effectivement gratuite sans compensation de la part de l’entreprise.

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